C'était l'année
Par skoobeedoo, mardi 2 janvier 2007 à 23:47 :: Cette année là :: #70 :: rss
C'était quelle année déjà?
Sur un site spécialisé dans l'occasion, j'ai trouvé un disque d'il y a bien longtemps. Un de ces disques qui sans vraie raison vous restent en tête pour toujours et reviennent parfois vous faire vibrer une corde bien agréable.
Comme la mode est à la nostalgie, j'ai vu là l'occasion de faire un petit tour du coté de memory lane et de jouer un petit couplet à la « c'était mieux avant ». Je me préparais donc à faire un spécial 1973 avec par ordre d'importance le BEPC, les vacances en Vendée et Emmanuelle qui a fait exploser les ventes de fauteuils en osier chez Pier Import.
Mais avant, j'ai quand même vérifié que ma mémoire ne me faisait pas défaut et que le disque était bien de 1973. Manque de pot, je m'ai trompé. Il est de 1972. Alors à la place, c'est certif, vacances en Vendée et Orange Mécanique qui n'a pas fait exploser les ventes de chapeaux melons mais certainement ceux des disques de Ludwig Von.
A propos du certif, une pensée pour ce salaud de Eric C. (non, pas Eric C; Eric Carmi.. je vais pas me géner pour (presque) te balancer). Au retour de midi du collège où se déroulait les épreuves, un bahut au moins à deux kilomètres de l'autre coté de la passerelle, autant dire terra incognita, ce fumier a planqué ma sacoche avec toutes mes affaires! A cause de lui, j'ai presque raté le certif. Il m'a fait vivre une heure de trouille noire et a failli briser ma vie. A tous les coups, sans le certif, je redoublais. Je me connais, ça m'aurait abattu, j'aurais sombré dans la débauche et l'alcool, aujourd'hui je serais une épave. Sois maudit, Eric Carmi..!!!
Bon je m'égare. Ainsi donc, le morceau est de 1972, je l'ai vérifié dans le hit-parade de l'époque. Que de souvenirs ce hit-parade, ma chère Sophie Darel. Je vous rappelle les trois premiers:
C. Jérome - Kiss me
Michel Fugain - Une belle histoire
Mike Brant - Qui saura
On les retrouve dans tous les classements des seventies. Sauf Mike Brant moins constant sur la fin. Qui d'autres? Les habituels qui trustent les 30 premières places:Ringo, Frédéric François, Mort Shuman, Claude François, Gérard Lenorman, Stone & Charden, Michel Sardou, Sheila, Dalida, Joe Dassin. On trouve aussi les gros étrangers qui vendaient par wagons mais qui en France passaient après Gérard Palaprat et Patrick Juvet; Lennon, Led Zep, Procol Harum, Cat Stevens, Deep Purple et, dans les derniers, les Rolling Stones. Derrière Mac and Katie Kissoon. Ca a dû changer depuis, les Kissoon remplissent moins de stades.
Le plus marrant, c'est de retrouver les comètes de l'époque, ceux qui n'ont brillé qu'un été ou deux et dont les noms et parfois les chansons reviennent en tête: Rappelez vous Christian Delagrange, les Poppys et Pierre Groscolas et mon préféré, Art Sullivan (petite fille aux yeux bleus donne moi ton amour petite fille aux yeux bleus tu es belle comme le jour).
Dans le tas, j'ai retrouvé un morceau que j'avais totalement oublié mais qui m'a littéralement sauté à la figure. C'est trop bon, je le mets en écoute. Celui qui retrouve l'auteur et le titre gagne un badge de Johnny le belgo-suisse.
Pour en revenir au disque du début, c'est bien sûr un 45 tours mais je l'ai enregistré sur le PC et traité avec un petit programme qui enlève un peu les craquements et beaucoup la musique. Ca fait un hèmepétrois tout pourri avec le son comme s'il chantait dans une bassine. Pas grave, imaginez que c'est sur RTL en grandes ondes, le hit-parade d'André Thorent. Et là celui qui retrouve le titre et l'interprète, c'est la couronne de roi des seventies qu'il mérite!
Ouais, Emmanuelle c'était en 1974. Arrête de crâner.
Comme la mode est à la nostalgie, j'ai vu là l'occasion de faire un petit tour du coté de memory lane et de jouer un petit couplet à la « c'était mieux avant ». Je me préparais donc à faire un spécial 1973 avec par ordre d'importance le BEPC, les vacances en Vendée et Emmanuelle qui a fait exploser les ventes de fauteuils en osier chez Pier Import.
Mais avant, j'ai quand même vérifié que ma mémoire ne me faisait pas défaut et que le disque était bien de 1973. Manque de pot, je m'ai trompé. Il est de 1972. Alors à la place, c'est certif, vacances en Vendée et Orange Mécanique qui n'a pas fait exploser les ventes de chapeaux melons mais certainement ceux des disques de Ludwig Von.
A propos du certif, une pensée pour ce salaud de Eric C. (non, pas Eric C; Eric Carmi.. je vais pas me géner pour (presque) te balancer). Au retour de midi du collège où se déroulait les épreuves, un bahut au moins à deux kilomètres de l'autre coté de la passerelle, autant dire terra incognita, ce fumier a planqué ma sacoche avec toutes mes affaires! A cause de lui, j'ai presque raté le certif. Il m'a fait vivre une heure de trouille noire et a failli briser ma vie. A tous les coups, sans le certif, je redoublais. Je me connais, ça m'aurait abattu, j'aurais sombré dans la débauche et l'alcool, aujourd'hui je serais une épave. Sois maudit, Eric Carmi..!!!
Bon je m'égare. Ainsi donc, le morceau est de 1972, je l'ai vérifié dans le hit-parade de l'époque. Que de souvenirs ce hit-parade, ma chère Sophie Darel. Je vous rappelle les trois premiers:
C. Jérome - Kiss me
Michel Fugain - Une belle histoire
Mike Brant - Qui saura
On les retrouve dans tous les classements des seventies. Sauf Mike Brant moins constant sur la fin. Qui d'autres? Les habituels qui trustent les 30 premières places:Ringo, Frédéric François, Mort Shuman, Claude François, Gérard Lenorman, Stone & Charden, Michel Sardou, Sheila, Dalida, Joe Dassin. On trouve aussi les gros étrangers qui vendaient par wagons mais qui en France passaient après Gérard Palaprat et Patrick Juvet; Lennon, Led Zep, Procol Harum, Cat Stevens, Deep Purple et, dans les derniers, les Rolling Stones. Derrière Mac and Katie Kissoon. Ca a dû changer depuis, les Kissoon remplissent moins de stades.
Le plus marrant, c'est de retrouver les comètes de l'époque, ceux qui n'ont brillé qu'un été ou deux et dont les noms et parfois les chansons reviennent en tête: Rappelez vous Christian Delagrange, les Poppys et Pierre Groscolas et mon préféré, Art Sullivan (petite fille aux yeux bleus donne moi ton amour petite fille aux yeux bleus tu es belle comme le jour).
Dans le tas, j'ai retrouvé un morceau que j'avais totalement oublié mais qui m'a littéralement sauté à la figure. C'est trop bon, je le mets en écoute. Celui qui retrouve l'auteur et le titre gagne un badge de Johnny le belgo-suisse.
Pour en revenir au disque du début, c'est bien sûr un 45 tours mais je l'ai enregistré sur le PC et traité avec un petit programme qui enlève un peu les craquements et beaucoup la musique. Ca fait un hèmepétrois tout pourri avec le son comme s'il chantait dans une bassine. Pas grave, imaginez que c'est sur RTL en grandes ondes, le hit-parade d'André Thorent. Et là celui qui retrouve le titre et l'interprète, c'est la couronne de roi des seventies qu'il mérite!
Ouais, Emmanuelle c'était en 1974. Arrête de crâner.
Commentaires
1. Le mercredi 3 janvier 2007 à 09:49, par Garfieldd
2. Le mercredi 3 janvier 2007 à 10:23, par skoobeedoo
3. Le mercredi 3 janvier 2007 à 18:54, par deloin
4. Le mercredi 3 janvier 2007 à 19:21, par skoobeedoo
5. Le jeudi 4 janvier 2007 à 13:11, par Swâmi Petaramesh
6. Le samedi 6 janvier 2007 à 10:47, par deloin
7. Le samedi 6 janvier 2007 à 16:01, par Garfieldd
Ajouter un commentaire
Les commentaires pour ce billet sont fermés.